Pour les séniors au Cambodge
Notre Cause
Le Cambodge
Situé à 9 853 km de Paris, le Cambodge est un pays d’Asie du Sud-Est pris entre la Thaïlande ou nord-ouest, le Laos au nord et le Vietnam à l’est.
Héritière de l’empire khmer, le Cambodge est aujourd’hui une monarchie constitutionnelle peuplée de 16 millions de Khmers ou Cambodgiens.
Le Cambodge, pays du sourire, est avant tout connu pour ses magnifiques temples d’Ankor, ses paysages luxuriants et ses habitants dont la gentillesse et l’esprit de partage se lisent sur leur grands sourires.
Mais derrière cette façade d’un pays qui donne à rêver, existe une réalité bien plus triste et cruelle dont il important de prendre conscience.
Malgré la forte croissance économique de ces dernières années, le Cambodge reste l’un des pays les plus pauvres de l’Asie. 46% de la population gagne moins de 3 dollars par jour et 4,2 millions de Cambodgiens vivent en dessous du seuil de pauvreté.
Veillir au Cambodge
Les personnes plus de 60 ans représentent 8,9% de la population du Cambodge, un chiffre qui selon les projections devrait passer à 21% d’ici 2050. Le groupe des personnes âgées qui connaît la croissance la plus rapide est celui des plus de 80 ans.
Au Cambodge, il n’y a ni système de retraite généralisé, ni sécurité sociale, ni fonds de solidarité. Les aides à destination des personnes âgées se limitent aux faibles pensions perçues par les anciens fonctionnaires et militaires. Les autres n’ont pas d’autre choix que de compter sur eux même et/ou leurs proches.
Peu sont ceux qui ont la chance de pouvoir profiter d’une retraite paisible. Ceux qui ont une famille, aussi modeste soit-elle, sont généralement pris en charge par leurs proches mais les autres qui n’ont hélas pas cette chance finissent leur vie dans des conditions très précaires : insuffisance alimentaire, absence de soins etc.
Au Cambodge, il n’est pas étonnant de rencontrer des personnes qui malgré leur âge avancé continuent à labourer dans les champs, vendre sur les marchés ou encore proposer leur service de cyclo pousse-pousse. Les plus malheureux, malades et dans l’incapacité de travailler, survivent tant bien que mal en comptant sur la générosité des passants dans les rues.
Ainsi, de nombreuses personnes âgées sans famille ou ayant des enfants éloignés aux faibles ressources se retrouvent malnutries et sans soins.
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